Bonne marche (comme vraiment beaucoup,
beaucoup de marche) pendant 5 jours. Mais l’affaire c’est que ça continue encore
pendant deux autres jours avec moins d’air et « plus à pic » après…
donc le 6e jour paraît interminable et c’est à ce moment-là que tu
te dis : « mais quécé que j’fais là? ».
Personnellement, je n’ai presque pas
ressenti le mal des montagnes, sauf le 3e jour à la Lava Tower.
(Heureusement, ça passé, parce que je ne pense pas que j’aurais fait le sommet.
(D’ailleurs, au 6e jour, je disais que ça n’aurait peut-être pas été
une si mauvaise chose, que ça ne passe pas…)). J'ai re-ressenti le malaise au dernier jour à la descente après avoir atteint le sommet.
Les Émotionssssss, par exemple, oh combien fluctuantes (Genre
femme enceinte jusqu’au cou qui essaie de s’habiller le matin, mais qui n’est
plus capable d’attacher ses souliers… (Dieu sait que le litre de crème glacée Häagen-Dazs
brownies et pâte à biscuit aurait fait du bien. À grande cuillerée, direct dans
le pot, oh oui madame!)). Frustration, bonheur, envie de pleurer, extase.
Descente un peu trop rapide à mon goût parce que je veux tout, tout, TOUT voir (sachant très bien que je ne remettrai JAMAIS les pieds ici).
Une belle « rando » pour les amateurs de trek.
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